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Le 20ème numéro de notre revue Saint-Gratien en V.O. est paru. Il est disponible à...
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Une statue de Jeanne d’Arc, en bronze, existait sur une propriété, au niveau du 9 de l’avenue du même nom. Nous en avons une photo, prise, à la fin des années 50, par un ami de l’association. La statue était, semble-t-il, à l’entrée de la propriété de M. Testulat. Il y aurait eu, non loin de là, une chapelle. La statue serait partie à la fonderie. Quant à la chapelle, nous n’en connaissons aucune trace. Quelqu’un pourra t’il nous renseigner à ce sujet ?
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Figure incontournable du petit écran français, Maurice Lux (1919-2003), plus connu sous le nom de Guy Lux, a construit sa légende en animant et en inventant des émissions devenues mythiques telles qu’Intervilles et le Palmarès des chansons. En 1981, l’arrivée de la gauche au pouvoir l’écarte de l’antenne de manière provisoire. Le présentateur du célèbre Schmilblick reviendra en 1983 sur FR3 avec le programme de variétés Cadence 3. Durant le reste de sa carrière, il se consacre principalement à la conception et à la production d’émissions telles que La Classe. Retiré des plateaux de télévision en 1997, Guy Lux meurt le 13 juin 2003 à l’âge de 84 ans. Il est enterré au cimetière de la rue d’Ermont aux côtés de sa femme Paulette (1914-1995) et sa fille Christiane (1941-1964). À la fin des années 1960, tout Saint-Gratien se pressait sur le terrain paroissial de l’avenue Georges-Didou pour les kermesses paroissiales de printemps. C’était parfois Guy Lux qui en assurait l’animation. Située au 42 rue du Général Leclerc, la maison familiale fut rasée en 2005 pour laisser place à l’actuel Parc Urbain, au grand regret de son fils, Michel, qui aurait aimé qu’elle soit conservée pour en faire un lieu de mémoire (voir l’article de la revue Vivre en Val d’Oise, accessible si vous êtes inscrit sur ce site). Une rumeur, reprise dans ce même article, raconte que Guy Lux aurait, à l’origine, acheté, avec ses premiers cachets, une ancienne chapelle, pour l’agrandir et y installer sa famille. Quelques éléments architecturaux, au-dessus de la porte d’entrée et au niveau des fenêtres – que nous imaginons simplement rapportés - sont peut-être la cause de cette affirmation. Certains de nos lecteurs pourront-ils nous le confirmer ? |
La maison de Guy Lux à Saint-Gratien quelques semaines avant sa démolition. |
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Extrait de la monographie de l'instituteur (1899) |
En 1876, une école maternelle ouvre rue d’Épinay (au niveau de l’actuel 15, rue du Général-Leclerc). Dix ans plus tard, le local est transformé pour accueillir l’école des garçons et la classe enfantine est transférée dans la mairie-école, devenue l’école des filles. Les bâtiments de l’ancienne école abritent ensuite, en jusqu’en 1929, la bibliothèque transférée depuis la mairie-école de la rue Hémonnot.
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L’ancienne école. L’entrée est à gauche, marquée en rouge. Le préau est à droite, également signalé en rouge. |
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Le château Anne de Bretagne Le château Bamberg |
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À Saint-Gratien, les familles adeptes de l'école libre envoient leurs garçons à l’école Saint-Paul de Sannois, à Saint-Louis d’Enghien ou à Eaubonne. Les filles fréquentent l’école des demoiselles Martin, où elles côtoient quelques-unes des pensionnaires des religieuses arméniennes installées dans le château Catinat. Les cours Martin se trouvent rue des Écoles (aujourd’hui, 12, rue Pierre-Brossolette). Hélèna Martin fait classe aux moyennes au rez-de-chaussée du pavillon. Anita Martin et Madame Juliette, l’épouse de Constant Martin, ont la responsabilité des plus petites et des plus grandes, regroupées dans un bâtiment au fond de la cour. Chaque matin, une phrase de morale tirée de la Bible est écrite sur le tableau noir et rappelle qu’ici, la prière est de coutume. Anita et Hélèna Martin ont tenu les Cours Martin de 1903 à 1965. Leur fermeture entraîna l’étude d’implantation d’une nouvelle école privée. Après avoir décidé d’utiliser une partie du terrain de la kermesse, dans les Allées Vertes, la construction fut envisagée sur un autre terrain, rue Philippe-Dartis. Le projet ne vit jamais le jour. |
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Dans les années 1960, Ernest Cousin, passionné par l’histoire de Saint-Gratien, interviewait Hélène Martin et sa sœur Anita Marie. Dans ce premier enregistrement, Hélène se souvient des processions de la fête Dieu dans les rues de Saint-Gratien. Pour agrémenter la bande son, nous y avons ajouté diverses photos d'époque, retrouvées chez M. Prodhomme, un membre de leur famille.
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